02/04/2013
D'Annunzio, "entre la lumière d'Homère et l'ombre de Dante"
15:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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01/04/2013
Bibliographie
Bibliographie (ouvrages actuellement disponibles) de Luc-Olivier d'Algange
Aux éditions Alexipharmaque: www.alexipharmaque.net
L'Ombre de Venise
Le Songe de Pallas
Entretiens avec des Hommes remarquables (collectif), préface d'Alain de Benoist
Lectures pour Frédéric II
Aux éditions Arma Artis:
Fin mars. Les hirondelles
Terre lucide, entretiens sur les météores ( avec Philippe Barthelet)
Le Chant de l'Ame du monde
Lux umbra dei
Propos réfractaires
15:37 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Eloge de la forme brève.
15:26 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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29/03/2013
un article d'André Murcie à propos du "Chant de l'Ame du monde", éditions Arma Artis.
11:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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28/03/2013
Quolibets, journal de lectures de Christopher Gérard aux éditions L'Age d'Homme.
Le "Journal de lectures" de Christopher Gérard, qui vient de paraître aux éditions L'Age d'Homme sous le titre de Quolibets (au sens étymologique, précisons, de quod libet, ce qui plaît), nous offre non seulement une suite d'hommages et d'invitations à la lecture, d'une belle allure stendhalienne, mais aussi, dès son exorde, précédé d'un hymne à Apollon, un Manifeste; celui de l'Ordre secret, impondérable, immémorial des Nobles Voyageurs que Dominique de Roux se proposait naguère de "réformer et de reformer".
Cet Ordre informel, implicite mais fervent - dont les auteurs évoqués ici sont tous plus ou moins les récipiendaires, - suppose une profondeur qui n'exclut pas la désinvolture. Barbey d'Aurevilly, Ernst Jünger, Guy Dupré, Jean Parvulesco, Nicolas Gomez Davila y côtoient Paul Morand, Roger Nimier, André Fraigneau ou Gabriel Matzneff.
Une part royale est offerte aux contemporains réfractaires qui participent d'une nouvelle secessio nobilitatis par "exil intérieur d'une phratrie qui se tient à l'écart du triste festin sur lequel se ruent les laquais. Nobilitas dépourvue de titres et de patrimoine matériel, comme il se doit".
Voici donc Renaud Camus, Alain de Benoist, Jean Clair, Bruno de Cessole, David Mata, Arnaud Bordes, Richard Millet, Michel Mourlet, Sarah Vajda et bien d'autres, pour nous rappeler, quoiqu'en dise une critique incurieuse, que les écrivains français ne manquent pas.
De quelle nature est cette littérature ? Christopher Gérard ne nous le voile point: "La Littérature comme sacerdoce. L'écriture comme théurgie, comme exaltation de la beauté du monde visible et invisible. L'écriture doit consister à chanter les fiançailles et les noces plutôt que le divorce, l'Amour qui tout étreint plutôt que la Discorde aux noires prunelles: l'art comme digue dressée face au déclin, aux forces de la déréliction et de la mort. Si la littérature n'est pas une forme de dévoilement, si elle ne nous protège pas comme le dit Kundera dans L'Art du roman, contre "l'oubli de l'être", elle n'est que profane c'est à dire insignifiante".
19:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Witkacy contre le "nivellisme"
Rappel
Notes sur l'oeuvre de Stanislas Ignacy Witkiewicz, dit "Witkacy".
Le Désastre et l'Adieu dans l'oeuvre de Witkacy:
Note sur WITKACY ( Stanislas Ignacy Witkiewicz)..doc
Les oeuvres de Witkiewicz sont disponibles aux Editions L'Age d'Homme.
ainsi que
S.I. Witkiewicz, aux sources d'un théâtre nouveau, d'Alain van Crugten, Editions L'Age d'Homme.
18:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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27/03/2013
un article d'Anna Calosso
19:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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26/03/2013
Journal désinvolte 26/O3/2013
Il y eut naguère, offerte aux immémoriaux comme aux nouveaux venus, un ensemble d'oeuvres, de styles, de traditions, de fidélités, que l'on nommait la culture française, - ensemble diapré aux frontières incertaines mais riche de ressacs et de réminiscences, de puissances et de légèretés, - que l'usage de la langue française, aristocratique ou populaire, éveillait presque à notre insu, et dont nous revevions des dispositions providentielles à comprendre le divers et à aimer ce qui nous était étranger ou lointain.
Dans le pur idiome du Valois Gérard de Nerval nous invitait aux mystères du romantisme allemand et de l'Orient. La Perse nous était donnée par Arthur de Gobineau. Stendhal et André Suarès nous faisaient voyager en Italie, non en touristes mais en pèlerins de la légèreté d'être, de l'art et de la beauté.
Ce lointain-proche avait pour avers le proche-lointain, la tradition de la France armoriée et armillaire dont les heures tournaient dans notre mémoire autour d'un point fixe, central, une clef de voûte impondérable, - qui est le Soi à l'intérieur du "moi", et plus vaste que lui, l'Ame du monde à l'intérieur de l'âme qui donne à nos gestes et nos voix cette impersonnalité active par laquelle la poésie nous revient, avec ses saisons et ses dieux, ses chances périlleuses: " Naviguer est nécessaire mais il n'est pas nécessaire de vivre."
*
L'enlaidissement du monde: stratégie serve de l'Adversaire pour nous faire détester le monde là où nous sommes et tels que nous sommes, nunc et semper. Ces grands travaux sont inutiles: "le ciel est au-dessus des toits".
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Derniers livres parus:
Lux umbra dei, éditions Arma Artis
Propos réfractaires, éditions Arma Artis
21:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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25/03/2013
Hommage à Philippe Muray
20:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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24/03/2013
Raymond Abellio, le roman du huitième jour.
15:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sohravardî, le Nord au-delà du nord.
A propos de la Théognosis persane, voir aussi dans Fin Mars.Les Hirondelles, les chapitres 9 ( Clavis hermeneutica, notes sur Henry Corbin), 10 ( Notes sur le Livre de l'Homme Parfait d'Azïzoddîn Nasafî) et 11 (Le voyage intérieur).
Fin mars. Les hirondelles, éditions Arma Artis:
15:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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21/03/2013
Notes sur l'oeuvre de Pierre Boutang. Extrait de "Lux umbra dei", éditions Arma Artis.
16:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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20/03/2013
Oniromancie. Au-delà des portes de corne et d'ivoire... Un récit de Luc-Olivier d'Algange
12:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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18/03/2013
Quand l'érudition n'est pas un jeu gratuit de l'esprit mais une aventure de l'âme.
Article paru dans Valeurs actuelles, N° 2810:
Profil
Pour cet auteur rare, familier des moralistes européens et des mystiques persans, l'art d'écrire s'apparente à une alchimie.
Cocteau disait que les poètes vivaient très au-dessus des moyens de leur époque; le mot pourrait servir de légende à un portrait de Luc-Olivier d'Algange. Voilà un homme rare, qui unit tous les sens du mot à commencer par le premier, le plus méconnu - le plus rare... - où l'emploie Virgile: léger, mais non par ce que l'on entend par là d'ordinaire, de cette légèreté regrettable qui n'est que l'effervescence de la sottise, tout au contraire, ce qui ne pèse pas. Et tant que nous en sommes au latin, un autre mot vient aussitôt à l'esprit, et à la plume, s'agissant de lui: longanime, d'emploi si rare de nos jours qu'il n'y a plus que les vieux dictionnaires qui le connaissent. C'est pourtant la vertu la plus aimable, cette égalité d'humeur, et d'humeur précisément légère qui est la forme la plus naturelle et la plus délicate et la plus française aussi, de politesse à l'égard des êtres et des choses.
Luc-Olivier d'Algange est poète comme on respire, et l'on ne peut pas dire, comme M. Gracq le disait de la littérature contemporaine, qu'il "respire mal": est-ce que l'âme du monde respire mal ? On le voit commensal d'André Suarès, interlocuteur de Pessoa, correspondant de Novalis, compagnon d'un de ces gentilshommes de plume et d'épée - du Bartas, d'Urfé - que les professeurs, qui se rassurent comme ils peuvent avec des étiquettes, diront "baroques". Mais encore, tout aussi bien et plus mystérieusement, de la suite de Pythagore et de Plotin, de Jamblique ou de ces mystiques persans dont il parle comme s'ils étaient ses voisins de campagne, sans la moindre pose.
Il aura beaucoup écrit en abandonnant ses pages à des revues, sans trop se soucier des "feuilles tombées" - il est bien trop courtois pour être gendelettre. Peu de volumes donc: le Manifeste baroque, le Traité de l'Ardente proximité, des poèmes, le Chant de l'âme du monde (Arma Artis), le Songe de Pallas, l'Ombre de Venise (Alexipharmaque) et ce livre: Fin mars. Les Hirondelles, dont le titre est emprunté à Joubert, le plus méconnu et peut-être le plus grand de nos moralistes. L'Etincelle d'or a pour sous-titre: "Notes sur la science d'Hermès"; pour Luc-Olivier d'Algange, l'art d'écrire tel qu'il le pratique est une forme d'alchimie.
Joubert définissait la poésie comme des "paroles d'air, et lumineuses": c'est ainsi que l'auteur nous parle, et comme l'intelligence est tout d'abord générosité, au lieu de parler de soi il dit volontiers son admiration en parlant d'écrivains, de philosophes ou de mystiques.
Que si, selon la formule de Raphaël - qui est la clef d'or de la vie de l'esprit -, "admirer c'est égaler", alors on remarquera que, loin de se contenter de faire écho à ses grands devanciers (qu'il s'appellent Henry Montaigu, René Guénon, Dominique de Roux, Ernst Jünger, Henry Corbin ou Gustave Thibon, Nicola Gomez Davila ou encore Azîzoddin Nasafî), il les continue, attentif à ces "idées dont l'entendement humain serait l'instrument de perception", qui aux antipodes de l'abstraction artificielle des concepts, sont les nuances infinies de la réalité qui s'offre à nous.
On pense en refermant le livre, à une autre citation de Joubert, sur la lecture de Platon "qui est comme l'air des montagne". Elle ne nourrit pas mais elle aiguise nos organes et donne le goût des bons aliments. Luc-Olivier d'Algange est sans doute l'un des plus platoniciens de nos auteurs.
Philippe Barthelet
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De Luc-Olivier d'Algange, aux éditions Arma Artis:
Fin mars. Les hirondelles
Le chant de l'Ame du monde
Propos réfractaires
Lux umbra dei
aux éditions Alexipharmaque:
L'Ombre de Venise
Le Songe de Pallas
Lectures pour Frédéric II
14:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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17/03/2013
Lettre sur la pauvreté et l'honneur
18:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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16/03/2013
Chant de l'Etoile polaire, poème.
Extrait de Le Chant de l'Ame du monde, éditions Arma Artis:
Chant de l'Etoile polaire, version corrigée.docx
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15/03/2013
Les "carnets noirs" de Gabriel Matzneff
22:08 | Lien permanent | Commentaires (2) | |
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14/03/2013
Fernando Pessoa, hétéronymes et "états multiples de l'être"
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13/03/2013
L'Icône et la vertu du paradoxe.
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Heidegger. Notes sur l'éclaircie de l'être.
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12/03/2013
Hommage à Stefan George
19:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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