15/03/2013
Les "carnets noirs" de Gabriel Matzneff
22:08 | Lien permanent | Commentaires (2) | | Facebook
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
D | L | M | M | J | V | S |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | |||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 |
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 |
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
« Fernando Pessoa, hétéronymes et "états multiples de l'être" | Page d'accueil | Chant de l'Etoile polaire, poème. »
22:08 | Lien permanent | Commentaires (2) | | Facebook
Commentaires
rare de voir citer gabriel matzneff.......merci
Écrit par : Thylane | 17/03/2013
Je pense souvent à ce mot de Flaubert quand je lis certains écrivains comme G Matzneff que la société puritaine et suintante de bêtises et de vulgarités s'empresse de mettre à l'index.
"(...) Il n'y a ni beaux ni vilains sujets et qu'on pourrait presque établir comme axiome, en se posant au point de vue de l'Art pur, qu'il n'y en a aucun, le style étant à lui tout seul une manière absolue de voir les choses." (Lettre à Louise Colet 16 janvier 1852)
Il est urgent et nécessaire de lire Matzneff lui qui nous ouvre les fenêtres dans ce monde de plus en plus étouffant.
Merci à Luc- Olivier d'Algange pour cette article.
Écrit par : Pascal Pineau | 17/03/2013
Les commentaires sont fermés.