12/07/2014
Parvulesco/ Melville
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Jean Pierre Melville dans le Cercle Rouge, par Jean Parvulesco:
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09/07/2014
Luc-OLivier d'Algange, Chant du Serment, extrait du Chant de l'Ame du monde, éditions Arma Artis:
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06/07/2014
Notes sur l'expérience visionnaire:
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Luc-Olivier d'Algange, Marelle, essai d'oniromancie:
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02/07/2014
Luc-Olivier d'Algange, Lectures pour Frédéric II, éditions Alexipharmaque:
Sommaire de Lectures pour Frédéric II:
1. Hypnosophie de l'Europe
2. Notes sur le fondamentalisme démocratique
3. Méditations impériales pour Fernando Pessoa
4. Hommage à Stefan George
5. Eloge de la témérité spirituelle
6. Digression toulousaine
7. Notes sur les Méditations du Verbe.
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01/07/2014
Antonin Artaud toujours ardoyant:
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29/06/2014
Le Songe de Pallas, désormais disponible en Ebook:
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un poème inédit de Luc-Olivier d'Algange:
D'un regard, j'ouvre le ciel, poème..rtf
Dernier recueil de poèmes paru: Le Chant de l'Ame du monde, éditions Arma Artis
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28/06/2014
Textes de Luc-Olivier d'Algange publiés par le Cercle Aristote:
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Au seul nom d'une déesse phénicienne, de Luc-Olivier d'Algange, également disponible en ebook:
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25/05/2014
L'Ombre de Venise, extrait. Editions Alexipharmaque:
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08/05/2014
Au seul nom d'une déesse phénicienne, aux éditions Alexipharmaque:
Au seul nom d'une déesse phénicienne, sous ce titre énigmatique et alexandrin, mais limpide à ceux qui savent que cette déesse n'est autre qu'Europe, Luc-Olivier d'Algange poursuit sa méditation débutée, aux éditions Alexipharmaque, par L'Ombre de Venise, et poursuivie par Le Songe de Pallas et Lecture pour Frédéric II. L'ensemble composant une tétralogie de combat, mais secret, "léger et silencieux" selon la formule de Nietzsche, en faveur de certaines ressources oubliées de la culture européenne, - qui n'est pas tant menacée par des forces exotiques que par l'occidentalisation du monde en tant que "pensée calculante" et "règne de la Quantité".
Cette menace, à laquelle il faut répondre, pèse non seulement sur notre culture, en tant qu'héritage, mais encore, plus immédiatement, et plus profondément, sur nos facultés de percevoir et de penser. Une restriction, nous dit Luc-Olivier d'Algange, est au travail; une restriction qui porte atteinte, en même temps, au sensible et à l'intelligible et contre laquelle, cependant, des puissances demeurent en réserve. Les temps sont venus de désempierrer les sources, d'invoquer les déesses et les dieux refugiés dans l'armorial de nos songes et de notre langue.
Luc-Olivier d'Algange évoquera ainsi les dionysies du corps, de l'âme et de l'esprit, depuis Dionysos qui fait "danser la terre" et que servent, comme disait Euripide, les matelots sur le bateau d'Ulysse, - jusqu'à Pessoa, dont la vie et l'œuvre sont encore la réponse d'Ulysse à Polyphème: " Mon nom est Personne".
Dans ce voyage, le lecteur est invité à rencontrer quelques auteurs emblématiques: Novalis, que Luc-Olivier d'Algange approche dans sa perspective philosophale et romane; Ernst Jünger et Julius Evola, dans "l'œil du cyclone"; Raymond Abellio, le seul héritier du Balzac gnostique et swedenborgien, qui écrit le roman paraclétique du "huitième jour"; D'Annunzio même, qui fait flamber dans le crépuscule d'une civilisation, le lyrisme politique de Homère, de Virgile et de Dante; Dominique de Roux enfin, dont l'œuvre rassemble les hommes et les œuvres, les signes et les intersignes qu'il nous faudra jeter dans le creuset du "feu central de l'être", dans l'athanor de nos consciences, pour reconquérir la parole perdue.
Cette essai de recours et de recouvrance est de ceux qu'écrivent les poètes qui sont à la fois héritiers et aventuriers.
Gabrielle Mafarka, Le Cygne Noir, avril 2014.
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30/04/2014
Au seul nom d'une déesse phénicienne, éditions Alexipharmaque
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Luc-Olivier d'Algange et la "catena aurea", par Anna Calosso
Luc-Olivier d'Algange écrit "d'une encre bleue comme le sang" des pensées, des hommages, des dialogues, des essais, des poèmes, tantôt désinvoltes, tantôt savants, mais toujours à l'usage des rares heureux, - ceux que Gobineau nommait les Calenders, les fils de Roi.
La plus expédiente façon de définir une œuvre est de dire ce qui ne s'y trouve pas. Ici donc, pas de psychologie de comptoir, pas de sociologie, de calculs, de drames domestiques, de grief, de nihilisme, de pathos, d'idéologie, d'actualité, de tourisme, d'art contemporain... Que reste-t-il alors, se demande le lecteur des "pages culturelles" ?
Eh bien tout le reste: l'impondérable, les variations des états de la conscience et de l'être, l'Eros et le Logos frémissants d'accords, les mots eux-mêmes, comme le scintillement épiphanique de la lumière sur la table des eaux.
Et puis encore, la Tradition, fraîcheur venue de la nuit des temps, symboles qui unissent les mondes visibles et invisibles, divinités des mers et des forêts et quelque chose de l'esprit de Maurice Scève, "en ses blasons et cosmogonies"
Les livres de Luc-Olivier d'Algange dispersent, grains de pollen, des noms, des idées, des formes génésiques, des paysages: sans eux le monde serait plus triste, plus sombre et plus lourds. Des passerelles sont lancées vers d'autres temps, d'autres œuvres qui exigent, pour se faire entendre, une vivante intercession. Les grandes œuvres, nous dit Luc-Olivier d'Algange, à la suite de Heidegger, demeurent "en réserve", graines sous le sol gelé. L'herméneutique créatrice sera le printemps, le "vent du dégel" selon la formule de Nietzsche, - philosophe que d'Algange affectionne particulièrement.
Une catena aurea, une chaîne d'or, court, en filigrane, nervure solaire, depuis Pythagore, Plotin, Jamblique, jusqu'à Rimbaud, Shelley, Stefan George... Contre le clerc, et les cléricatures moralisatrices, Luc-Olivier d'Algange évoque l'Aède antique, la salutation angélique de Dante à Béatrice, la possibilité toujours recommencée de la Vita Nova, - jusqu'aux Cantos d'Ezra Pound.
L'Orient affleure dans ses essais comme l'aurore sur les toits occidentaux d'une cité endormie. Orient métaphysique plus encore que géographique, aurora consurgens. Voici les poètes et les visionnaires de la Perse médiévale: Sohravardî, Ruzbehân de Shîraz, Nasafî, Fadid-Ud-Dîn 'Attar, - la langue des Oiseaux, l'alchimie de l'image et du verbe. L'espace est murmurant de conversations inouïes. Il suffit de les entendre. La France baroque s'entretient avec les "Ishrakyuns", les philosophes de l'aube levante, les héritiers de Zoroastre et du Védantâ. Ecoutons.
Des poèmes en surgissent: chant de l'heure la plus claire, chant de l'orage lumineux, chant de l'Ame du monde.
L'entretien, en profonde logique, se poursuit avec Nietzsche et Hölderlin. Nietzsche par lequel nous savons que "les plus grandes pensées sont les événements les plus grands". Et voici encore d'autres mondes dans le monde, dionysies de l'âme, efflorescences, labyrinthes... Une sapience, nous dit Luc-Olivier d'Algange a été perdue, mais dans sa nuit, dans son voilement, elle fait signe vers son retour, et voile, et vogue vers nous, nef odysséenne.
Anna Calosso, Les Flèches d'Or, avril 2014
aux éditions Alexipharmaque:
L'Ombre de Venise
Le Songe de Pallas
Lectures pour Frédéric II
à paraître prochainement:
Au seul nom d'une déesse phénicienne.
aux éditions Arma Artis:
Fin mars. Les hirondelles
Chant de l'Ame du monde
Lux Umbra Dei
Propos réfractaires
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28/04/2014
Luc-Olivier d'Algange, avril 1914. Photo, Laurent Masoero.
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06/04/2014
Prolégomènes à une lecture maistrienne des temps présents:
Prolégomènes à une lecture maistrienne des temps présents..doc
extrait de Lux Umbra Dei, éditions Arma Artis:
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03/04/2014
Jean Biès, poète et métaphysicien:
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02/04/2014
Hommage à Philippe Muray
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27/03/2014
L'Astrolabe divin, en hommage à Yunus Emre:
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21/03/2014
Malcolm de Chazal, une théocosmogonie:
La théocosmogonie de Malcolm de Chazal.docx
Aggenèse de Malcolm de Chazal, tome I, éditions Arma Artis 2014:
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