
"Je tiens à écrire tout le bien que je pense du livre de Luc-Olivier d'Algange. Poète de la pensée, doté d'une pensée de la poésie, cet auteur a le privilège de pouvoir compter sur l'avenir, qui le placera, non au premier rang de notre temps, mais à l'avant-garde de celui de demain, où on le lira dans le dialogue qu'il ouvre, une main tendue à Hölderlin, l'autre au jeune homme ou à la jeune femme encore à naître qui le découvrira. Il est question du haut chant de l'âme, lorsque celle-ci se saisit d'elle-même, et renvoie non son image, mais le monde, quand il mérite ce nom, et...